Aussi loin qu’on puisse remonter,
Coruscant , ou le « pivot » comme on l’a appelé, a toujours été le centre du gouvernement, de la culture, de la justice et de l’autorité, du bon ou du mauvais côté. Comme tous les vétérans de l’espace le savent, la planète a pour coordonnées 0-0-0.
Vue de loin, toute la surface de
Coruscant est animée, avec ses innombrables lumières dansantes. Son ciel est rempli d’appareils qui filent à toute vitesse, de vaisseaux de transport plus lents et, en haut, de tours vertigineuses, de nombreuses plates-formes d’appontement. Tout cela justifie le titre de cette planète, « Joyau des Mondes du Noyau ».
Gravitant autour de
Coruscant sur une orbite fixe, un réseau de stations spatiales observe attentivement la population en dessous.
Se laissant tomber dans l’atmosphère supérieure, passant les Plates-formes Golan de Défense Spatiale à orbite fixe, celui qui arrive pour la première fois sur
Coruscant ne tarde pas à comprendre d’où vient cette illumination planétaire. Aussi loin que le regard se porte, la surface entière de ce monde scintillant est une immense cité. Pas un centimètre de carré de surface naturelle en vue.
Cette cité résulte de dizaines de milliers d’années de développement industriel et culturel.
Coruscant est entièrement dépendante de l’importation pour toutes ses ressources. Cette dépendance est contrebalancée par le fait que
Coruscant est une planète vitale : sans sa bureaucratie, sans ses services d’archives, ses tribunaux ses innombrables centres administratifs, la plus grande partie de la galaxie sombrerait dans l’anarchie totale.